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La semaine écoulée a été riche en actualités insolites et préoccupantes. Des vélos électriques à Bruxelles aux crabes envahisseurs en Scandinavie, en passant par un bouton sexuel controversé, plongeons dans cette revue hebdomadaire qui ne manque pas de piquant.
Une bonne nouvelle pour la mobilité douce à Bruxelles : JC Decaux va transformer un tiers de ses vélos partagés en Villos électriques cet été. Mais attention, ce progrès a un prix : l’installation de panneaux publicitaires numériques énergivores. Six communes bruxelloises s’y opposent fermement.
Ces écrans consomment autant que trois ménages belges. L’échevin Écolo Yves Rouyet dénonce une prolifération excessive d’écrans dans les rues. Mais le président de l’Union des Villes et Communes de Wallonie pointe du doigt l’aspect financier : les taxes sur ces panneaux représentent des centaines de milliers d’euros pour les grandes villes.
La mobilité verte va-t-elle vraiment triompher sur la publicité envahissante ? L’avenir nous le dira.
Oubliez les clochettes coquines à 2€, voici le bouton sexuel high-tech à 60€ ! LoveSync, la dernière trouvaille de Kickstarter, promet de booster la vie intime des couples timides. Le principe ? Un bouton pour chaque partenaire, à activer quand l’envie se fait sentir.
Si les deux boutons s’illuminent, c’est le feu vert pour un moment coquin ! Mais est-ce vraiment la solution miracle pour pimenter sa vie sexuelle ? Ne vaudrait-il pas mieux simplement… communiquer ?
Cette invention soulève des questions sur la place grandissante de la technologie dans nos vies les plus intimes. Gardons à l’esprit que la communication reste la clé d’une relation épanouie.
Scandale écologique en Belgique : selon une étude du WWF, les autorités accordent près de 3 milliards d’euros par an de subsides aux énergies fossiles. Plus choquant encore, les voitures de société sont davantage subventionnées que les transports en commun !
Alors que les jeunes manifestent chaque semaine pour le climat, ce « déséquilibre inacceptable » pose question. La Belgique prétend vouloir une justice climatique, mais ses actes contredisent ses paroles. Il est grand temps que les autorités revoient leurs priorités et écoutent les revendications de la population.
Alerte à la cryptozoologie ! Le célèbre monstre du Loch Ness pourrait bien disparaître à cause d’un projet de centrale hydroélectrique. Le barrage prévu pomperait l’eau du lac pour alimenter 400 000 foyers en électricité.
Les habitants s’inquiètent des risques sismiques et de l’impact sur le tourisme. Mais quid de Nessie ? Les défenseurs de l’animal mythique craignent qu’il ne soit « entraîné par les turbines de l’usine ». Une solution de compromis serait de développer l’éolien plutôt que l’hydraulique dans la région.
Dans le cadre de sa « guerre contre la pornographie », le Bangladesh a bloqué près de 20 000 sites pour adultes. Mais est-ce vraiment efficace ? Les sites miroirs et alternatifs risquent de proliférer rapidement.
Cette mesure soulève des questions éthiques : ne vaut-il pas mieux que les hommes assouvissent leurs pulsions sur des sites plutôt que sur des femmes ? Une approche plus nuancée, basée sur la prévention et l’éducation, serait sans doute plus pertinente qu’un simple blocage.
Inquiétude chez les défenseurs des animaux : le Botswana pourrait bientôt autoriser à nouveau la chasse aux animaux sauvages, y compris aux éléphants. Le pays abrite la plus grande population d’éléphants d’Afrique, avec 135 000 individus.
Un comité recommande la levée de l’interdiction de chasse et l’abattage régulier d’éléphants. Une décision qui ferait reculer la protection de la faune sauvage. Pourtant, le tourisme animalier est un pilier de l’économie botswanaise. Espérons que le gouvernement prendra la mesure des enjeux écologiques et économiques.
Une invasion venue du froid : les crabes royaux du Kamtchatka, surnommés « crabes de Staline », prolifèrent dans les mers nordiques. Introduits par l’URSS dans les années 60, ces crustacés géants bouleversent l’écosystème marin.
Sans prédateur naturel, ils dévorent tout sur leur passage et se reproduisent à vitesse grand V. On en compterait aujourd’hui 13 millions ! Pourtant, la Norvège et la Russie préfèrent exploiter cette manne plutôt que d’éradiquer l’espèce invasive. La chair de ces crabes, très prisée, se vend à prix d’or.
Innovation dans le monde associatif : Mimosa devient la première ONG belge à accepter les dons en cryptomonnaies. L’association, qui lutte pour l’accès aux soins dans les pays en développement, veut ainsi toucher un public plus jeune et combler le fossé numérique.
Cette initiative témoigne de l’importance croissante des cryptomonnaies dans notre économie. Reste à voir si d’autres associations emboîteront le pas à Mimosa pour diversifier leurs sources de financement.